Voici un post que je suis heureux de révéler ici sur notre blog. La thématique est « la formule 1 ».
Le titre saisissant (Pourquoi Hamilton avait plus de rebonds que Russell) est sans ambiguïté.
Identifié sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est positivement connu.
Vous pouvez de ce fait faire confiance à cette parution.
L’encart a été divulgué à une date indiquée 2022-06-14 09:13:58.
Le marsouinage est l’un des sujets de discussion principaux de cette saison 2022, et si les écuries ont tenté de l’endiguer dès les essais hivernaux, certaines y sont mieux parvenues que d’autres. Mais à Bakou, avec une zone de pleine charge de plus de deux kilomètres, les rebonds ont été plus violents que jamais, en témoignent notamment les images d’un Lewis Hamilton « cassé » à l’arrivée du Grand Prix.
Par moments, le marsouinage était si important que le Britannique a dû lever le pied dans la série de virages rapides au début de la ligne droite des stands. Hamilton a confirmé qu’il souffrait plus que son coéquipier George Russell en raison d’une différence de réglages entre les deux W13, comme l’a révélé le patron de Mercedes, Toto Wolff, après les qualifications. Il a également dû lutter contre une douleur intense dans le dos causée par le marsouinage de la voiture dans la ligne droite.
Malgré ses problèmes, Hamilton est passé de la septième place sur la grille de départ à la quatrième au drapeau à damier, bien qu’il ait été aidé par l’abandon des deux Ferrari. « Il y a eu beaucoup de moments où je ne savais pas si j’allais y arriver », a-t-il révélé en zone de presse. « Je ne savais même pas si j’allais garder la voiture sur la piste, parce que je ne sais pas si vous l’avez vu, j’ai failli la perdre dans la section à haute vitesse à plusieurs reprises. Donc la bataille avec la voiture était intense. Et puis à la fin, les dix derniers tours jusqu’au drapeau, je devais juste serrer les dents, je me disais : ‘Tu peux le faire, tu vas l’avoir’. »
Hamilton a confirmé qu’à certains moments, il devait lever le pied sur la ligne droite pour anticiper une éventuelle perte de contrôle. « Parce que la voiture rebondissait tellement parfois », a-t-il regretté. « Il y a tellement de fois où j’ai failli aller dans le mur. C’était donc une préoccupation, du point de vue de la sécurité, à 290 km/h, percuter le mur, je pense que je n’ai jamais eu à y penser en tant que pilote. On ne pense jamais vraiment à éviter le mur à cette vitesse. Une expérience très, très, très étrange. »
Lewis Hamilton, Mercedes W13
Hamilton a révélé que la spécification choisie pour sa voiture n’avait pas fonctionné, alors que l’équipe poursuit des directions de développement parallèles. « Je suis heureux que ce soit terminé. C’était la course la plus douloureuse que j’ai vécue, la plus difficile. Mais honnêtement, George n’a pas eu les mêmes rebonds que moi, il en a eu beaucoup moins. Hier, j’ai perdu trois dixièmes et demi par rapport à lui juste sur les lignes droites. J’avais une pièce expérimentale sur ma voiture, et une suspension arrière différente. Donc au final, ce n’est pas la bonne. »
Malgré sa frustration, Hamilton a concédé que cela avait été une bonne course pour l’équipe. « Vraiment de très bons points. Il y a tellement de potentiel dans cette voiture. Nous ne pourrons pas le débloquer tant que nous n’aurons pas arrêté les rebonds. Mais nous avons une voiture bien différente de toutes les autres. Je dois jeter un coup d’œil et voir si c’est la bonne ou non. Je dois penser à tous les gens qui comptent sur moi pour obtenir ces points. Donc c’est vraiment sur ça que je me concentrais. Mais c’est définitivement la pire chose. Pour moi, ça n’a jamais été aussi mauvais que cette année. George n’a pas de problème de dos aujourd’hui. Mais son dos a dix ans de moins que le mien ! »
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