A noter, ce texte sur le web dont la thématique est « l’automobile » et qui a des chances de vous satisfaire.
Le titre saisissant (Bonus auto : la nouvelle donne) synthétise tout l’article.
Annoncé sous la signature «d’anonymat
», le rédacteur est positivement connu.
Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette parution.
L’éditorial a été diffusé à une date mentionnée 2024-01-22 23:29:00.
Seule la planète est satisfaite… et c’est déjà beaucoup. En retirant le bonus à l’achat aux voitures électriques produites en dehors de l’Europe, la France réduit les émissions de gaz à effet de serre causées par leur transport en bateau depuis la Chine ou les États-Unis, principalement. Chez les marques produisant sur le Vieux Continent comme Fiat, Peugeot ou Renault, on se frotte les mains.
Pour les constructeurs d’Asie (Chine, Corée, Japon), mais aussi Dacia dont la Spring est fabriquée à Shiyan dans la province du Hubei, c’est la soupe à la grimace. Pensez donc… même si cette aide providentielle à l’achat n’est attribuée qu’aux voitures de moins de 47 000 € et que son montant est ramené de 5 000 € à 4 000 € en 2024, le bonus reste un formidable booster de ventes.
Les modèles recalés vont désormais voir l’alléchant écart de prix avec leurs rivaux européens se réduire comme peau de chagrin et la clientèle aux moyens limités va pester contre cette hausse déguisée.
Des voitures électriques abordables ?
À moins que ce tour de vis fiscal n’incline les constructeurs les plus vernis à lancer des modèles plus efficients et surtout moins chers – ce sera notamment le cas avec les futures Citroën ë-C3 et Renault 5 E-Tech promises cette année. Et que, dans le même temps, ceux qui fabriquent en Chine à l’image de Dacia, MG Motor, Smart, Tesla ou Volvo relocalisent, totalement ou partiellement, leur production en Europe.
Quant aux marques chinoises, elles ont, pour certaines, déjà annoncé leur intention d’installer des usines en Europe. Ce sera le cas de BYD, prochainement, en Hongrie. Finalement, ce nouvel ordre des choses devrait profiter à la qualité de l’air et… au consommateur qui verrait la voiture électrique, qu’on lui impose, devenir enfin abordable.
Le super malus déplafonné
L’autre mesure, lourde de conséquences, prise par le gouvernement, concerne les voitures thermiques les plus émettrices de CO2 et donc, le plus souvent, les plus puissantes et les plus chères. En 2023, ces belles automobiles subissaient un malus maximal à l’achat, de 50 % de leur valeur nominale, plafonné à 50 000 € lorsque leurs rejets de gaz carbonique dépassaient les 225 g/km.
Depuis le 1er janvier, ce seuil d’émissions a été abaissé à 194 g/km, le montant maximal du malus porté à 60 000 €, mais surtout, il n’existe plus de plafonnement pour le prix du véhicule. Concrètement, cela signifie qu’une sportive vendue 60 000 € peut voir son tarif doubler sous l’effet du malus écologique. Celui-ci peut même se cumuler avec le malus au poids. Si le véhicule acheté pèse plus de 1 600 kilos, il en coûte, à présent, entre 10 € et 30 € par kilo supplémentaire.
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