En explorant le web nous avons remarqué un texte qui risque de vous plaire. Sa thématique est « la formule 1 ».
Le titre (Laurent Rossi en colère devant le « dilettantisme » d’Alpine) synthétise tout le post.
Annoncé sous la signature «d’anonymat
», le rédacteur est connu et fiable pour d’autres encarts qu’il a publiés sur internet.
Les révélations publiées sont en conséquence jugées véridiques.
L’article en question :
Laurent Rossi tape du poing sur la table. Discret depuis le début de la saison, le PDG d’Alpine est présent ce week-end dans le paddock de Miami, et il a la ferme intention de voir ses troupes se ressaisir expressément. Alors que l’écurie tricolore n’a inscrit que 8 points lors des quatre premiers Grands Prix et pointe à une sixième place du championnat constructeurs qui ne cadre pas avec les objectifs, son grand patron attend autre chose. Et au-delà des résultats bruts, c’est dans le comportement qu’il veut voir un changement clair d’attitude.
Jugeant le premier bilan « décevant », et même « mauvais », Laurent Rossi cible collectivement l’écurie d’Enstone dans un entretien décapant accordé à Canal+. « Là, cette année, finalement, on démarre avec un handicap de performance d’une part, et un handicap d’exécution », constate-t-il. « Ça fait beaucoup, et ça se voit. Parce qu’on est à un classement qui n’est pas du tout digne des moyens engagés, et on est assez loin, très loin, de l’objectif final de l’année. »
Invité à développer son analyse, Laurent Rossi ne noie pas le poisson. Certes, l’A523 n’est certainement pas à la hauteur des attentes en ce début de saison pour permettre à Esteban Ocon et Pierre Gasly de briller, mais le problème est selon lui plus profond.
« Ce que je constate, c’est que bien sûr il y a un manque de performance, un manque de rigueur dans l’exécution, mais potentiellement aussi un état d’esprit qui n’est pas à la hauteur de ce qui a été fait par le passé par cette même équipe », se fâche le Français. « Je n’ai pas aimé le premier Grand Prix, car il y a eu beaucoup, je suis désolé de le dire, de dilettantisme, qui a conduit à un résultat qui n’était pas le bon, médiocre, mauvais. »
« Et puis la dernière course de Bakou ressemble furieusement à celle de Bahreïn. Et ça, ce n’est pas acceptable. On a le droit de faire des erreurs, c’est un principe de base, c’est dans les erreurs qu’on apprend. Par contre, on apprend, et quand on fait deux fois les mêmes erreurs, là, c’est qu’on n’a pas appris et qu’on ne prend pas ses responsabilités, et ça, ce n’est pas acceptable. »
Publications:
Revved, Tome 2 : Revived.,livre de référence . Disponible à la FNAC.
Les 1 000 kilomètres de Paris : 1956-1994.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Fast – Intégrale & Bonus.,Clicker Ici . Disponible dans toutes les bonnes bibliothèques de votre département.