A mentionner, ce post sur le web dont le thème est « l’automobile » et qui est susceptible de vous intéresser.
Le titre séduisant (Automobile. Frédéric Dumas, de la Saxo rose à la direction de course) en dit long.
Sachez que l’auteur (identifié sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.
Il n’y a aucune raison de douter de la fiabilité de ces infos.
Voici ll’article mentionné :
Dans le petit monde du rallye, le nom de Frédéric Dumas évoque instantanément une couleur : le rose. Rose, comme la… dégaine de la Saxo dont il a tenu le volant pendant quelques années, avant de la remiser dans une grange, quelque part dans les Vosges, où elle se repose encore aujourd’hui. « C’est une Saxo que j’avais trouvée dans le Nord de la France. Rose, parce que c’était une femme qui roulait avec. Un moteur de Saxo commerciale, des amortisseurs d’origine… Ce n’était pas du tout une voiture faite pour la performance. Je me faisais plaisir, je faisais des freins à main dans toutes les épingles… ». Inutile de préciser que le Blâmontais ne passait pas inaperçu. Passionné de sport automobile dès le plus jeune âge, un virus familial, Frédéric Dumas (44 ans) a finalement connu une carrière de pilote relativement courte. « À un moment donné, je suis passé dans le siège de droite », raconte-t-il, « mais en 2013, au Rallye Ajolais, nous avons fait une grosse sortie de route. J’ai pris conscience que, lorsqu’on a des enfants, il faut savoir réfléchir à ce qu’on fait… ».
« C’est bien d’avoir un patron conciliant… »
Mais hors de question de s’éloigner de cette passion chronophage, qui lui a d’ailleurs « coûté un divorce », sourit-il aujourd’hui. Frédéric Dumas a donc quitté le baquet, mais est resté au bord des routes. Commissaire stagiaire, il a ensuite passé les examens de commissaire, puis est devenu directeur de course il y a quatre ans.
Ouvrier agricole à Barbas, il passe le plus clair de ses week-ends dans le fauteuil du « patron » de course, avec sous sa responsabilité, le recrutement et le suivi des commissaires et une sacrée dose de responsabilités sur les épaules.
« Cette année, j’ai été présent sur vingt-cinq épreuves », dénombre le directeur de course licencié à l’ASA Nancy, qui n’hésite pas à donner un coup de main en qualité de commissaire, ici ou là, lorsqu’il ne met pas sa casquette de directeur, « beaucoup d’épreuves débutent le vendredi. C’est bien d’avoir un patron conciliant… ». La Saxo rose ne roule plus, mais sous le capot, le cœur de Frédéric Dumas bat toujours autant pour le rallye.
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