Voilà qui va vous séduire : Un nouvel article que je viens de trouver sur le web et que nous vous reproduisons ci-dessous. La thématique est « la formule 1 ».
Son titre (Montpellier : 200 pilotes s’affrontent dans l’un des plus importants Grand Prix de buggy radiocommandé) est sans équivoque.
L’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.
La fiabilité est ainsi impérieuse en ce qui concerne cet encart.
Sachez que la date de publication est 2023-02-10 23:02:00.
Texte mentionné :
Jusqu’au dimanche 12 février, les rives du Lez sont le théâtre du Grand Prix annuel de buggies radiocommandés, organisé par l’association des Mini-Bolides de Montpellier. 200 pilotes s’affrontent dans une compétition acharnée qui réunit les meilleurs de la discipline.
Au détour d’une promenade sur les rives du Lez, le spectacle a de quoi surprendre : un authentique circuit de course où les moteurs commencent déjà à vrombir. Un peu plus loin, c’est toute une armée de mécaniciens qui s’affairent autour d’établis, ajustant les derniers réglages tout en consultant, fébriles, les temps de leur écurie. Seule différence avec un véritable grand prix de Formule 1 : les pilotes qui concourent ne sont pas au volant de leur engin.
Du 10 au 12 février, c’est le Grand Prix de buggies radiocommandés organisé par l’association des Mini-Bolides de Montpellier (MBM). Depuis 25 ans, elle s’est construite peu à peu une grosse réputation dans le milieu du modélisme, c’est-à-dire la construction de modèles réduits : « Au départ, il n’y avait qu’une dizaine de pilotes. Aujourd’hui, il y en a près de 200 », dit Jean-Laurent Dupont, l’un des membres importants de la MBM.
Une discipline de précision
À l’échelle 1/8e, catégorie reine de la discipline, ces buggies, dont le prix tourne autour de 1 000 euros, fonctionnent avec une essence spécifique et peuvent atteindre les 80 km/h. Leur conception est très rigoureuse car le règlement impose des normes strictes en la matière.
Le succès du Grand Prix de Montpellier contraint même les organisateurs à refuser entre cent et cent-cinquante participants, faute de place. Autour du circuit, modifié depuis l’année dernière par l’ajout d’un pont, toutes les nationalités se retrouvent, et pour cause, car les grands noms de la discipline viennent chaque année s’affronter. Pour autant, la compétition n’est pas fermée : même les novices peuvent venir se mesurer au champion de France (Henri Savoya), au champion d’Europe (le Suédois David Ronnefalk) voire au champion du monde (l’Italien David Ongaro), tous présents aux abords du circuit.
L’une des courses les plus importantes de la saison
« Le Grand Prix de Montpellier est la course mondiale qui a pris le plus de renommée : c’est la première de l’année et donc le meilleur moyen de lancer sa saison et de satisfaire ses sponsors », explique Franck Caizergues, n°1 de la MBM. Dimanche se tient la finale de l’événement, une épreuve d’endurance d’une heure où les pilotes doivent même veiller au ravitaillement de leur buggy, comme dans un véritable Grand Prix de Formule 1. Après tout, Lewis Hamilton, pilote le plus titré de la F1, a commencé sa carrière de cette façon.
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